• Suite à la parution grâce à notre équipe d’un guide de création de page Facebook pour l’immobilier, nous allons aujourd’hui un peu plus loin, vers la fidélisation de son public déjà bien construit auparavant sur sa page.

     

    Publiez systématiquement une image

    Pour susciter l’intérêt de l’internaute, rien de tel qu’une jolie photo, accompagnée d’une courte accroche de texte. D’ailleurs, il faut savoir que l’algorithme de Facebook privilégie les posts contenant une image. Inutile en revanche d’écrire un roman à chaque publication. « Au-delà de deux ou trois lignes de texte, on perd en interaction avec la communauté », constate Nicolas Pottier. Autrement dit, sélectionnez vos images avec soin – en vous assurant que la résolution est suffisante – et soyez concis.

     

    Posez des questions 

    « Pour inciter sa communauté à réagir, les accroches peuvent être ponctuées de manière interrogative », suggère Nicolas Pottier. En somme, invitez vos abonnés à « liker » vos publications en leur posant des questions ouvertes : Et vous qu’en pensez-vous ? – ou fermées – Vous aimez ?

     

    Diffusez vos annonces… sans en abuser

    Un professionnel immobilier a naturellement envie de partager ses biens en portefeuille sur Facebook.« C’est un bon usage : d’abord car il s’agit d’un contenu propre à l’agence – surtout dans le cas d’un mandat exclusif –  ensuite car c’est le type d’information que s’attendent à recevoir les personnes qui suivent la page », observe notre expert. Toutefois, gare à ne pas transformer votre mur Facebook en fil d’annonces immobilières. Alternez vos thématiques de publications : conseils, vie de l’agence, témoignage client, actualité du marché, etc.

     

    Partagez les contenus des autres

    Les agences ont rarement le temps de créer des contenus éditoriaux. Qu’à cela ne tienne : de nombreux sites ou blogs immobiliers proposent quotidiennement des articles qui peuvent être facilement partagés Facebook. Sur les taux de crédit ou la Loi Alur par exemple. « En tant qu’expert de son secteur, l’agent immobilier doit également diffuser des informations locales », Une brocante organisée dans le quartier, des travaux prévus dans sa ville, un article dans la presse locale sur un nouveau commerçant voisin… autant d’informations qui intéressent aussi vos abonnés.


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  • *L’agent commercial (1) est le statut juridique du mandataire en immobilier et du conseiller en immobilier. Le code du commerce l’a défini ainsi : "un mandataire qui, à titre de profession indépendante, sans être lié par un contrat de louage de services, est chargé, de façon permanente, de négocier et, éventuellement, de conclure des contrats de vente, d'achat, de location ou de prestation de services, au nom et pour le compte de producteurs, d'industriels, de commerçants ou d'autres agents commerciaux. Il peut être une personne physique ou une personne morale".

    L’agent commercial dans l’immobilier représente le titulaire de la carte de Transaction et/ou de Location, il est mandaté par ce dernier et devient donc un mandataire. Ses principales missions sont la prospection pour obtenir des mandats (2), de se constituer un portefeuille, de conduire les visites, de travailler qualitativement son relationnel et d’obtenir des recommandations par la qualité de son travail.

    Ces différentes missions font l’objet d’un apprentissage sérieux et professionnel chez GROUPEMENT IMMOBILIER. Nous disposons d’un centre de formation reconnu, d’intervenants spécialisés au siège et sur le terrain (juristes, avocat, agents commerciaux experts) et d’outils de communications exclusifs et uniques (nous consulter directement pour plus de détails par mesure de discrétion vis-à-vis de la concurrence).

    *L’auto-entrepreneur défini le fonctionnement du régime social choisi par l’agent commercial. Ils sont évidement compatibles. L’agent commercial, qui est le statut juridique obligatoire pour exercer en tant que mandataire, dispose donc de deux possibilités de régime :

    • L’auto-entrepreneur : Il n’a aucune charge sociale à verser tant qu’il ne fait pas de chiffre d’affaires. Il dispose d’une couverture sociale dès son inscription et cotise qu’au prorata de ces gains (environ 23% impôt inclus). Exemple : Sur 100 euros, l’agent commercial verse 23 euros au RSI, le reste constitue son bénéfice.

    A savoir également : Le régime social auto-entrepreneur est plafonné à 32900 € de Chiffre d’Affaires HT. Il n’y a pas de récupération de TVA, tout est facturé hors Tva, et pas de comptabilité à tenir.

    • Le régime réel : Plus utilisé dès que le développement du Chiffres d’Affaires de l’agent commercial s’accélère. Et bien plus intéressant par la suite pour se constituer un capital (nous consulter)

    GROUPEMENT IMMOBILIER va encore plus loin que le statut de l’auto-entrepreneur. Nous aidons financièrement chaque agent(e) commercial(e) débutant(e) ou professionnel(le) à se développer. En effet nous avons choisi de miser sur des qualités humaines et professionnelles afin que toutes personnes ambitieuses puissent réussir dans l’immobilier.

    *L’idéal pour commencer une activité dans l’immobilier : être agent commercial sous le régime de l’auto-entrepreneur. Cela permet de se former en toute quiétude (car pas d’appel de cotisations forfaitaires) et c’est plus léger administrativement (pas de comptabilité, ni de déclaration de TVA à faire).

    • D’autres appellations sont employées pour définir l’agent commercial en immobilier : Négociateur en immobilier, conseiller en immobilier, mandataire en immobilier.
    • Le mandat matérialise l’autorisation donnée par le propriétaire aux professionnels(les) de l’immobilier pour diffuser son bien en publicité et trouver un acquéreur solvable.

    Contactez-nous directement au 04 67 58 45 78 ou visitez notre plateforme dédiée au recrutement http://groupementimmo.org


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  • Le volume de la communauté de fans des pages dédiées à l’immobilier sur les réseaux sociaux ne cesse d’augmenter avec une hausse estimée à près de 36 % sur les 6 derniers mois, selon une étude réalisée par Logic-immo en 2014. Un chiffre qui révèle une véritable évolution dans le domaine de la recherche immobilière où la communication virale prend de plus en plus d’ampleur.


    L’immobilier est un excellent sujet pour animer des communautés sur les réseaux sociaux car il répond à une problématique universelle qui nous concerne tous : le logement. Que l’on soit propriétaire ou locataire, vendeur ou acheteur, curieux ou avec un projet à concrétiser… les solutions sont aussi sur la toile et de plus en plus sur les « murs » des milliers d’internautes connectés sur les réseaux. Sans oublier que certains réseaux sociaux offrent des options telles que la géolocalisation qui apportent une réponse plus précise aux sollicitations des internautes.


    « L’humain est au cœur des transactions immobilières, car le choix d’un bien reste propre à chacun selon ses attentes et ses envies. Même si les outils évoluent, cet aspect personnel de la recherche immobilière ne changera pas. L’utilisation des réseaux sociaux en la matière vient ainsi tisser du lien entre les différents acteurs du secteur, connectant vendeurs et acheteurs » explique Julie Garnier, Responsable Marketing chez Logic-Immo.com, portail d’annonces immobilières sur internet.


    Elle complète : Aujourd’hui, des milliers de messages gravitant autour de la recherche immobilière sont postés chaque jour. « Les 50 plus importantes pages Facebook rattachées à la recherche immobilière en France comptent près de 850 000 likes. C’est une évolution de 36 % du volume de fans sur les 6 derniers mois. Le phénomène prend de l’ampleur. »


    D’après l’étude réalisée par SIMM-TGI France pour Logic-Immo.com en avril dernier, 39 % des internautes utilisateurs du site Logic-Immo.com passent plus de 2h sur Internet par jour, soit 10 points de plus que l’ensemble de la population française.


    A noter que 61 % des internautes utilisateurs de Logic-Immo.com voient Internet comme un moyen pour s’entraider et trouver des réponses aux questions qu’ils se posent grâce aux autres internautes (contre 48 % pour l’ensemble de la population française). C’est pourquoi Logic-Immo.com a lancé une application dédiée pour faire appel à ses amis dans le cadre de sa recherche immobilière. Parmi les réseaux consultés figurent notamment Facebook (61 %), LinkedIn (17 %), Twitter (13 %) et Viadeo (13 %), entre autres.


    « Ces chiffres concernent l’ensemble de leur activité sur la toile, et non seulement leur recherche de bien immobilier, mais ceci montre bien qu’internet et les réseaux sociaux sont aujourd’hui des passages obligatoires. Tout le monde y est et tout le monde s’y retrouve. La recherche immobilière est une thématique que les internautes affectionnent particulièrement vu la progression du nombre de fans et de likes sur le sujet. » souligne Julie Garnier.

     

    De Directgestion


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  • Une étude sur les différents profils de clients du marché de l'immobilier, réalisée par le site Le-Partenaire.fr, nous révèle que ce sont les femmes qui sont généralement à l’origine d’un projet immobilier.

    En effet, selon son enquête, en France, 58 % des instigateurs en démarche immobilière sont de sexe féminin. L'acquéreur français est à plus de 67 % un couple avec un enfant ou plus. Et outre la recherche du bien (39 % des sondés), la capacité financière pour l'acquérir est une démarche primordiale pour 30 % d'entre eux. Détails.

    « Cette étude démontre que la morosité du marché immobilier ainsi que les conditions d’attribution de prêts rigoureuses tendent à éliminer des candidats à la propriété et notamment les primo-accédants. Et même pour ceux qui peuvent y prétendre les ambitions d’achat sont plus modérées… Crise oblige ! », expliquent les auteurs de l’étude.

    Le profil de l’acquéreur
    Selon l’étude, l’acquéreur moyen aurait 33 ans et un salaire mensuel moyen de 2388 €. Le coût de son acquisition tournerait autour des 154 477 € pour une durée de prêt moyenne de 20 ans. 60 % des ménages sont propriétaires et 67 % des acquéreurs d’un bien immobilier sont en couple avec un enfant ou plus. 26 % achètent en couple pendant que 7 % seulement réalisent leur acquisition de leur bien immobilier, seuls. Ce dernier pourcentage est faible et probablement dû au manque de revenu et au coût d’acquisition encore élevé.

    Les acquéreurs sont 39 % à principalement naviguer sur des annonces immobilières afin de trouver le logement idéal et analyser les prix et 30 % sur une simulation de prêt immobilier afin d’être rassuré sur leur capacité d’emprunt.

    Le profil du locataire
    Son âge moyen tourne autour des 25 ans et il gagne un salaire moyen mensuel assez faible, à 1325 €, pendant que le coût de son loyer s’élève à 508 €. La location concerne 40 % des ménages français et 42 % des locataires vivent seuls ou avec un enfant. 27 % d'entre eux sont en couple sans enfant et 31 % des locataires sont en couple avec plus d’un enfant.

    Enfin, 59 % des futurs locataires sont plutôt à la recherche d’un studio ou d’un logement avec une chambre disponible. En revanche, 41 % d’entre eux sont à la recherche d’un logement avec deux chambres ou plus.


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  • D’Anne Michel, rédactrice en chef de J'agis

    Le gouvernement vient d'annoncer la mise en place d'un nouveau régime Duflot. Ainsi, notre ancienne ministre qui s'était attachée à "socialiser" un des secteurs phare de l'économie, verra sa copie revue et corrigée, sous un flot de critiques sévères. Surtout de la part des promoteurs-constructeurs qui ont vu leur secteur, déjà fragile, s‘écrouler ces 12 derniers mois avec des mises en chantier en recul de près de 15%. La construction est en berne et les mises au chômage massives.

    Madame Duflot aurait-elle plombé l'immobilier neuf ? En tous les cas, les objectifs ne sont pas atteints : au lieu de 500 000 promis, on comptabilisait seulement quelque 300 000 logements construits l'an dernier. Et tous les professionnels affirment que la disparition du Scellier a tué l'immobilier neuf.

    Le gouvernement fait donc marche arrière. Objectif : lever les contraintes qui étouffent le secteur. Parmi les mesures phares annoncées, il s'attache à la relance du secteur de la construction, très fortement créateur d'emplois.

    Quels sont les moyens mis en oeuvre ?

    1 - Libérer le foncier  
    Pour ce faire, le gouvernement...

    • adoucit la fiscalité des terrains à bâtir qui s'alignera sur celle des immeubles bâtis. Ainsi, une exonération est envisageable après 22 ans de détention ;
    • accorde un abattement exceptionnel de 30% en cas de vente de terrains à bâtir, ceci dès lors que la promesse de vente est conclue avant le 31 décembre 2015 ;
    • prévoit un abattement exceptionnel de 100 000 euros pour les donations de terrains à bâtir réalisées avant fin juin 2015.

    2 - Avantager l'achat dans le neuf 
    Dans certains quartiers "prioritaires", une TVA réduite à 5,5% sera appliquée pour toute accession à la propriété dans le neuf.

    Notons qu'un abattement exceptionnel de 100 000 euros est prévu pour les donations de logements neufs aux enfants et petits-enfants, à la condition qu'elles soient réalisées avant fin 2016.

    3 – Assouplir le dispositif Duflot 
    Les propriétaires-bailleurs achetant du neuf pourront louer, non plus sur 9 ans comme précédemment, mais aussi sur 6 ans ou 12 ans, avec une fiscalité plus ou moins attractive selon la durée retenue.

    Qui plus est, les acquéreurs pourront louer ce logement à des ascendants ou descendants, et cette location sera prise en compte dans la durée minimum de location, durée nécessaire pour obtenir les avantages fiscaux.

    La mise en oeuvre de l'encadrement des loyers sera limitée à Paris, dans un premier temps.

    Voire à d'autres villes comme Lille si les maires le sollicitent.

    Un pansement sur une jambe de bois ?
    Si ces nouvelles mesures peuvent encourager les promoteurs à lancer de nouveaux programmes, elles ne résoudront pas le fond du problème qui est la crise économique. Avec des Français dont les revenus s'affichent en baisse et le moral en berne, il est peu probable que l'immobilier neuf profite d'une embellie spectaculaire.

    Par ailleurs, un des principaux blocages pour les investisseurs aujourd'hui est la complexité juridique & fiscale française. Trop de règlementations, de contraintes, d'obligations, de fiscalité... finissent par bloquer la volonté d'entreprendre des particuliers-investisseurs. Or, sans argent on ne construit rien...

    Les Français ont besoin de stabilité fiscale et de simplification. Qui vous dit en effet que votre achat sous le régime du nouveau Duflot sera compatible avec des modifications ultérieures qui ne manqueront pas de s'appliquer ? Beaucoup se sont faits prendre au piège de ces micmacs fiscaux, souvent à caractère rétroactif, qui cassent les montages patrimoniaux sous-jacents aux investissements long terme entrepris par les investisseurs-particuliers.

    Prudence, toujours...
    Le dispositif Scellier, comme le Duflot ou le nouveau Duflot, est propice aux arnaques. On en a dénoncé beaucoup. Certains des programmes Scellier se sont ainsi construits dans des zones inédites, loin des villes, sans potentiel locatif ou dans des quartiers dits sensibles.

    Dans l'affaire Appolonia -- véritable scandale immobilier -- près de 500 couples ont été ainsi piégés.

    Quel que soit l'intérêt fiscal de l'opération, vous devez donc toujours rester prudent :

    • d'abord, ne souscrivez que si vous comprenez le fonctionnement du produit ;
    • surtout, posez-vous toujours la question de savoir, si vous feriez cet investissement en dehors de l'aspect fiscal. La fiscalité ne doit jamais être un argument d'achat.

    Enfin, allez visiter le bien, sa localité, son environnement... avant de signer ! Vous seul êtes capable de prendre la bonne décision d'investissement, encore faut-il avoir vu le bien. 


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